Ch. Europe Natation | La trahison ultime de Maxime Grousset


Maxime Grousset

Un an après les Mondiaux de Budapest, marqués par la razzia de Léon Marchand, voici cette fois les Championnats d’Europe petit bassin de Bucarest. Le Toulousain ne faisant pas partie des engagés, on pensait vivre une compétition agréable. Mais comme souvent, un traître peut en cacher un autre. Son nom ? Maxime Grousset.

Après les péripéties de sa sœur Emma lors du concours de Miss Nouvelle-Calédonie, Maxime abordait les Championnats d’Europe petit bassin avec la ferme intention de ne pas repartir bredouille. Mais la réalité a certainement dépassé ses propres espérances.

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Des débuts de Mondiaux inadmissibles pour Grousset

Après Budapest, c’est donc Bucarest qui organise une compétition internationale. Un conseil ; ne faites pas comme les supporters français de l’Euro 2020, qui ont eu la brillante idée de confondre les deux villes.

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Tout commence avec le 100m papillon pour Maxime Grousset. Dès les demi-finales, le natif de Nouméa pulvérise le record de France de la distance (48’94). De très mauvais augure pour la finale. Et cela ne manque pas. Le Français décroche la médaille d’argent, et met en marche ses Mondiaux.

Mais le Nouméen ne s’arrête pas là. Après le 100m, place au 50m papillon. A défaut de pouvoir rafler l’or en finale, Grousset cherche à diversifier sa panoplie de métaux. Alors c’est en toute logique qu’il se dirige vers le bronze. Avec un nouveau record de France à la clé.

Puis 2 heures plus tard, c’est une nouvelle médaille de bronze à l’occasion du 4x50m nage libre mixte. Une moisson marchandienne.

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100m nage libre, l’épreuve reine pour le Roi

Vient alors le 100m nage libre, la distance reine de la natation. Et là encore, dès les demies, Maxime affole les chronos en claquant tout simplement la meilleure performance mondiale de l’année (45’63). Maxime est le seul Français à s’être hissé en finale. La seule et unique menace pour notre fédé. Nous avons 7 chances sur 8 de commencer cette nouvelle semaine avec le sourire. Mais le Néo-Calédonien ne l’entend pas de cette oreille.

Le Français dépasse d’un cheveu l’Italien Alessandro Miressi, pour seulement 5 centièmes. Et cerise sur le gâteau empoisonné ; Grousset en profite pour améliorer encore la meilleure performance mondiale de l’année (45’46). La bateau de la FFL coule doucement, mais sûrement.

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Cette Marseillaise nous fiche l’angoisse à chaque fois.

Mais au-delà des performances de Maxime Grousset (1 médaille d’or, 1 d’argent et 2 de bronze), c’est toute la délégation française qui nous inquiète. Avec 23 médailles, dont 7 en or, les Jeux olympiques arrivent au pire moment pour nous.

Alors imaginez le désastre que cela pourrait être avec Léon Marchand.

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Tom