F1 | Les notes FFL du Grand Prix du Canada


Alex Albon

Alors certes, Max Verstappen a (encore) gagné une course de F1, mais nous ne nous sommes pas ennuyés. Comme quoi, tout peut arriver.

Formule 1 — GP du Canada — Les Notes

Alfa Roméo

Valtteri Bottas : 5

Valtteri a cru terminer dans les points avant de se faire dépasser par Stroll sur la ligne d’arrivée pour 3 centièmes, puis être finalement repêché dans les points. Un ascenseur émotionnel t’as peur.

Guanyu Zhou : 8

Ah bon il roulait ?

Alpine

Esteban Ocon : 6

Si vous avez passé un dimanche frustrant, regardez la fin de course d’Ocon derrière Albon et cela ira mieux.

Pierre Gasly : 7

Le Normand devait se qualifier en Q2 sans trop de difficulté, mais c’était sans compter sur un homme en rouge ; non pas l’Alfa Roméo de Bottas qui sort un meilleur temps, mais Carlos Sainz au ralenti sur la trajectoire. Vous êtes étonnés vous ?

AlphaTauri

Nyck De Vries : 9

Quel amour de duel avec Magnussen ! Après avoir tassé le Danois, le pilote Alpha Tauri n’hésite pas à lui fermer la porte et l’amener dans le bas-côté. Une nouvelle bromance est née.

Yuki Tsunoda : 6

Pas de tête-à-queue à noter, ni d’insultes à la radio ou encore d’accrochages avec un adversaire. On attend la preuve que c’était bien Yuki qui pilotait aujourd’hui.

Aston Martin

Fernando Alonso : 2

On ne sait pas vous, mais on a apprécié la commedia dell’arte de Fernando mimant une presqu’collision avec Hamilton dans les stands.

Lance Stroll : 6

Ptdr et dire que papa Stroll souhaitait qu’Aston Martin claque un doublé au Canada. C’était visiblement mal connaître la pointe de vitesse de son fils.

Ferrari

Charles Leclerc : 5

Vous aviez aimé la communication téléphonique entre Leclerc et son équipe l’an passé à Monaco ? Alors vous allez adorer leur entente à Montréal.

Une pique suivie de plates excuses juste derrière, l’ombre de Binotto n’est jamais bien loin.

Mais pas de stress, le jour de course n’est pas plus calme chez la Scuderia. Leclerc abîme sa voiture lors du tour de mise en place. Quelle équipe mes amis.

Carlos Sainz : 7

La course n’avait pas encore commencé que l’Espagnol était déjà la star du week-end. Par deux fois, Carlos élargit les épaules en essais libres 3, histoire de bien s’entraîner pour la qualif. Et le travail paye. Un amour de blocus au bout de la ligne droite, des pilotes obligés de couper la chicane pour ne pas s’encastrer dans la voiture rouge, et trois temps sabotés par Carlos en un seul virage. Spicyyyy.

Haas

Kevin Magnussen : 7

Son mano a mano avec De Vries restera dans les annales. De même que la minute qu’il a fallu pour enclencher la marche arrière.

Nico Hulkenberg : 8

From P2 to P5 to P15. Well done Nico.

À lire aussi :   GP Chine | La douche ultime de Lewis Hamilton

McLaren

Oscar Piastri : 6

Il faut toujours un pilote qui termine aux portes des points. Et ce dimanche, c’est le jeune Oscar qui s’est collé à la tâche.

Lando Norris : 5

Pour une fois que Lando finit dans les points, il est pris dans un train DRS du tonnerre. Encore plus frustrant vu qu’il termine hors des points à cause de sa pénalité. What a season pour McLaren quand on y pense quand même.

Mercedes

Lewis Hamilton : 3

Revoir Hamilton et Alonso se battre durant toute une course à 100% doit infliger un sacré coup de nostalgie aux anciens amoureux de la F1. Mais quel bonheur.

George Russell : 7

Voyant que le podium serait difficile à obtenir, George a voulu faire de la pub sur la rigidité des voitures Mercedes. Jamais une occasion de perdue.

Ah bah non du coup.

Red Bull

Max Verstappen : 1

6e victoire de la saison, 41e en carrière pour égaler Ayrton Senna, 100e dans l’histoire de Red Bull. Vous l’aurez compris, on ne connaît pas le terme suspense dans cette équipe.

Sergio Perez : 8

Sergio a tout simplement été nulle part aujourd’hui. On s’est seulement rendus compte qu’il était sur le circuit quand il a effectué le meilleur temps en course.

Williams

Logan Sargeant : 9

Auteur de la première virtual safety car qui aura duré seulement quelques secondes. Autant vous dire que son impact sur la course aura été aussi important que Stoffel Vandoorne chez Aston Martin.

Alexander Albon : 1

A 15 tours de la fin, Albon avait 4 pilotes derrière son aileron pour sauver sa 7e place. Pour finalement terminer 7e. Le tout avec des pneus vieux de 57 tours. Voilà voilà.
Tom