Voici pourquoi le PSG regardera la Ligue des Champions à la télé après le Bayern


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Ce soir, le Paris Saint-Germain affronte le Bayern Munich pour une place en quarts de finale. On vous explique pourquoi les joueurs du PSG regarderont avec nous les prochains matchs de Ligue des Champions.

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Les Parisiens sont habités par LA grosse confiance

Qui aurait cru, après la déroute à l’aller au Parc des Princes, que les Parisiens roulent des mécaniques avant de se rendre en Bavière ? Il faut dire que depuis, le PSG a claqué 11 buts en trois matchs. Pire, ce sont trois succès, dont deux obtenus avec le même dispositif. Quasiment une première pour les Parisiens cette saison.

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Et comme si le sort ne s’acharnait pas suffisamment sur nous, c’est avec le 3-5-2 que Galtier a trouvé son bonheur. Un pied de nez fatal quand on sait ce que Laurent Blanc en avait fait de ce dispositif en Ligue des Champions.

Autant d’ingrédients qui permettent à Marco Verratti de dormir sur ses deux oreilles la nuit.

“On arrive à ce match avec beaucoup de confiance” M. Verratti

Mais vous le savez, il n’existe pas meilleur mélange que confiance + espoir.

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Si tirs au but il y a, la malédiction française nous sauvera.

Depuis la finale de la Coupe du monde, la France entretient une relation torride avec les séances des tirs au but. Et comme par hasard, le sort se plaît à s’acharner sur le football français, à l’instar de l’élimination du Stade Rennais en Ligue Europe. Bons joueurs que nous sommes, nous avons désormais décidé de reléguer les séances des tirs au but à de la “loterie”. On n’est pas un pays frontalier avec la Belgique pour rien.

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Alors face au Bayern Munich, dans l’hypothèse où les Allemands ne se qualifieraient pas dans le jeu, les tirs au but ne sont qu’une question de temps. Et comme si ça ne suffisait pas, les Parisiens n’ont pas travaillé les pénos avant la rencontre. Cerise sur le gâteau, c’est Yann Sommer qui sera dans les cages. Cela ne vous rappelle rien ? Mbappé ne peut pas en dire autant.

Mais à y regarder de plus près, nous ne sommes pas si sereins que cela si les tirs au but pointent le bout de leur nez. En effet, les probabilités de gagner le jackpot au loto allemand sont de 1 chance sur 139 838 160, contre 1 chance sur 19 068 840 pour le loto français. Les Bavarois seraient inspirés de se qualifier au bout des 90 minutes.

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Kingsley Coman sera de la partie

Dans la vie, certains sportifs sont superstitieux. Rafael Nadal place ses bouteilles au millimètre près, José Mourinho embrasse la croix avant chaque rencontre et Neymar est forfait à chaque mois de mars. A la FFL, nous avons trouvé notre porte-bonheur contre le PSG : Kingsley Coman. Et cela tombe bien, c’est un ancien Titi. Une histoire de remuage, de couteau et de plaie.

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Unique buteur en finale de Ligue des Champions en 2020, et récidiviste au match aller. Vous nous voyez venir avec nos gros sabots : jamais deux sans trois. Nie zwei ohne drei.

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Galtier relativise, l’inverse aurait été une surprise

A quelques heures de la rencontre, Christophe Galtier se mue en pompier pour éteindre tous les départs d’incendie. Avec un matelas confortable en championnat et une élimination en Coupe de France, la Ligue des Champions semble être le dernier objectif des Parisiens à atteindre cette saison. Du moins, c’est ce que nous pensions naïvement.

“Si j’ai le sentiment que le PSG joue sa saison sur ce match ? Non, je n’ai pas ce sentiment” C. Galtier

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Le Bayern vient de s’offrir un club français

Pas plus tard qu’hier soir, le Bayern Munich s’est imposé 76-72 contre l’ASVEL. Alors certes, c’est du basketball. Mais nous prenons tous les signaux positifs.

8 mars

Dans le calendrier du PSG, le 8 mars célèbre la Saint Remontada. Quoi d’autre qu’une élimination en Ligue des Champions pour célébrer la plus belle d’entre elles ?

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Seul point noir, Neymar n’est pas là…

Depuis le forfait de Neymar, force est de constater que le PSG joue mieux. Bien mieux même. Galtier a trouvé sa formule magique : au lieu d’ajouter constamment du talent dans l’équipe, la solution était d’en enlever.

En ce qui concerne le timing du forfait du Brésilien, pas besoin de s’appeler Nostradamus pour prédire le mois de mars.

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Tom