Vous pensez que votre équipe préférée a toujours été malchanceuse ? Attendez de découvrir notre palmarès des joueurs les plus malchanceux de toute l’histoire du sport ! Préparez-vous à être étonné par ces destins sportifs tragiques, où la malchance semble être leur seul compagnon fidèle. Préparez les mouchoirs, cette liste risque de vous faire pleurer… de rire !
Le top 6 des joueurs les plus malchanceux de tous les temps
Les joueurs, qu’ils soient professionnels ou amateurs, peuvent tous se plaindre de la malchance lorsqu’ils ratent une occasion. Mais certains ont une chance particulière de connaître l’apothéose de la malchance.
En tête du podium… un joueur amateur
Imaginez un joueur amateur grec qui, sur un terrain délabré, décoche une frappe parfaite, mais qui rebondit successivement sur le poteau droit, la barre transversale, le poteau gauche, pour finalement rouler gentiment sur la ligne de mais avant de…rebondir sur le poteau droit ! Quatre poteaux en une action, quel record, mais ce n’est pas tout !
Phil Hellmuth (poker)
Ah… Phil Hellmuth, le célèbre “Poker Brat” connu pour ses réactions émotionnelles lorsqu’il est malchanceux au jeu. On ne peut qu’admirer sa malchance constante, qui a réussi à éclipser son talent incontestable. Savoir où jouer au poker en ligne en France pourrait sans doute lui permettre de retrouver sa chance !
Nicola Amoruso (football)
Nicola Amoruso, cet attaquant italien, mériterait certainement un prix pour sa malchance innée. Tellement poissard qu’il est devenu célèbre en tant que “joueur le plus malchanceux” à la télévision italienne. Lors d’un match de Serie A, il frappe le poteau de la tête, mais le ballon rebondit malencontreusement sur un défenseur avant de lui percuter le tronc et de finir au fond des filets. Bien sûr, ce mais spectaculaire est annulé pour hors-jeu. Il faut dire qu’Amoruso a vraiment la poisse, même lorsqu’il marque, c’est pour de faux. Quelle ironie !
On sort du podium, mais toujours dans le foot
Un attaquant du Dynamo Kiev en a également fait les frais. Après avoir trompé le gardien d’une frappe bien placée, le ballon rebondit sur la barre, mais revient miraculeusement sur la tête de l’attaquant pour…retoucher encore la barre ! Heureusement, une nouvelle opportunité se présente, mais hélas, le gardien s’en mêle. Et même lorsque le ballon revient une troisième fois, l’attaquant tire de l’extérieur du droit, mais rate complètement le cadre. C’est sûr, en Ukraine, le mot “malchance” doit avoir une consonance bien particulière.
Phil Badd (football)
Phil Babb, pauvre malchanceux, a eu l’honneur de défendre les couleurs de Liverpool pendant cinq longues années. Quelle joie il a pu connaître, mais aussi quel immense moment de malheur et de souffrance ! Imaginez cet instant incroyable, où Babb tente désespérément de stopper le ballon lors d’un match contre Chelsea. Le malheureux attaquant des Blues dribble le gardien et envoie le ballon tranquillement dans les filets vidéos. Et que fait notre cher Phil ? Il vient se jeter sur le poteau, pour ajouter une touche de malchance et de douleur à l’ensemble, en se perforant bien comme il faut. Tout à fait le genre de geste qui rend un homme stérile en un claquement de doigts. Ah, le destin est décidément cruel, aussi bien pour lui que pour sa pauvre compagnie.
Last but not least
Dans la famille malchanceux, voici Copa Barry, le gardien ivoirien de Lokeren. Pendant un match de Jupiler League contre le Club Bruges, il a décidé d’ajouter une nouvelle figure acrobatique à son répertoire : écraser son crâne contre un poteau. Malheureusement, cette performance digne d’un cirque est conservée inutile puisque le tir n’était même pas cadré. Bravo, Barry, pour ces 5 minutes de jeu inoubliables !
Conclusion
Eh bien, voilà notre palmarès des joueurs les plus malchanceux de l’histoire du sport ! Quelle chance ont-ils d’être tombés sur ce podium prestigieux. On espère qu’ils pourront maintenant utiliser leurs malheurs en guise de trophée pour se consoler et oublier leurs blessures. Qu’ils se rassurent, leur malchance légendaire restera gravée dans nos mémoires… ou du moins, dans ce blog !
