F1 Essais hivernaux | La première journée fabuleuse d’Aston Martin


Aston Martin

Cette saison, les écuries de Formule 1 ne disposent que de trois jours d’essais hivernaux pour découvrir la monoplace. Autant dire qu’il s’agit d’une course contre la montre, où chaque minute est cruciale. Mais pas chez Aston Martin visiblement.

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Fernando, un antécédent dans la guigne

L’an passé, l’Espagnol déclarait lui-même : “Le kilométrage et la fiabilité sont plus importants que les performances durant les tests“. Pourtant, quelques heures plus tard, son Alpine A522 partait en fumée dans les graviers de Barcelone lors des essais hivernaux. La “bascule” qui a fait pencher El Plan vers El Flan.

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Alors cette saison, on se dit que les planètes vont enfin s’aligner pour Fernando Alonso. Mais sa nouvelle écurie n’est pas non plus la plus sécure du paddock. Parti d’Alpine pour rejoindre Aston Martin, son choix entre dans la lignée des précédents. Comme en piste, l’Espagnol est imprévisible.

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Alonso, poissard parmi les poissards

La première journée des essais hivernaux débute à Bahreïn. C’est Felipe Drugovich qui est au volant, Lance Stroll ayant pris soin de se crasher (en vélo cette fois-ci). Et dès les premiers mètres de roulage de la AMR23, c’est la panne. La fameuse.

Le premier Grand Prix de la saison n’a pas encore commencé, et Aston Martin provoque déjà le premier drapeau rouge de la saison. Intenable.

Les hommes en vert se rassurent comme ils peuvent. Mais il fallait être drôlement naïf pour croire que la situation était sous contrôle.

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Aston Martin, fiabilité double zéro

Dès le début de la séance de l’après-midi, Aston Martin se fait encore remarquer. Tandis que les neuf pilotes sillonnent les 5 412 mètres du circuit, Fernando Alonso reste sagement aux stands. La raison ? Le fond plat est endommagé à la suite d’un entraînement aux arrêts au stand. Une saison qui commence à merveille.

On ne sait comment, Fernando Alonso trouve tout de même la motivation de claquer le second temps de la journée. A seulement 3 centièmes de Verstappen. Histoire de nous faire mentir de la pire des manières.

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Tom