Fédération Française de la Lose – Communiqué officiel.


La Fédération Française de la Lose déplore un début de saison tennistique à l’encontre des valeurs prônées si fièrement en 2021.
Nous le savons, vous le savez, le tennis est, depuis de nombreuses années, un sport étendard de notre si belle institution. Cependant, des résolutions catastrophiques semblent avoir été prises au réveillon cette année. Un mois n’est même pas passé, nous avons déjà déploré 1 titres ATP, une finale et déjà 2 Français en seconde semaine de l’Open d’Australie alors que le 3e tour n’est même pas fini.
Soit déjà 2 de plus qu’en 2021.
Si le titre ATP et une seconde semaine sont l’œuvre de l’inénarrable Gaël Monfils, habitué des titres tôt dans les saisons — petit écart que nous choisissons de tolérer de temps à autres— la manière dont ce dernier remporte ses matchs est elle inqualifiable. 9 sets pour, 0 contre. De qui se moque t-on ? Jusqu’où le ridicule s’arrêtera ?
Nous ne savons que trop bien que c’est à l’Open d’Australie que les tennismen français sont capables des plus grandes anomalies. Arnaud Clément, Sébastien Grosjean, Jo-Wilfried Tsonga ou autre Lucas Pouille ont récemment fait affoler nos alarmes, tout en restant à l’écart du titre, contrairement à certaines de ses dames. Mais cette année, des noms dont nous pensions que leur fidélité à nos valeurs étaient sans faille viennent nous prendre en traitre. Adrian Mannarino, Alizé Cornet, Benoît Paire, nous parlons de vous. Et de toi aussi, Arthur Rinderknech, petit nouveau dans la fratrie.
Si certains pensent que nous cédons ici à la panique, nous ne pouvons ignorer ces signaux venus de l’ombre. Prudence étant mère de sûreté, la FFL implore donc le Tennis français de se ressaisir, et de nous offrir à peine plus qu’une demi-quinzaine.
De plus, ces trahisons conjuguées à d’autres cancres habituels comme le handball, le biathlon ou le ski, nous pousse à devoir hausser le ton afin de ne pas voir une rébellion organisée omnisport.
Sans quoi, il sera l’heure pour nous de prendre des actions fortes.
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Antoine