Ligue des Champions | Les notes du Bayern Munich


Kingsley Coman

Sans être brillant, le Bayern Munich a fait la loi au Parc des Princes. On ose à peine imaginer le sort réservé aux Parisiens à l’Allianz Arena.

À lire aussi :   Ligue des Champions | Les notes du PSG

Bayern Munich

Sommer – 3

Le Suisse n’a rien eu à faire durant toute la partie. Alors pour se réveiller, rien de mieux que d’envoyer un coup de genou dans la hanche de Danilo sur sa sortie. On s’occupe comme on peut.

Pavard – 8

Alors qu’il ne restait que quelques minutes à jouer, la tentation était trop grande pour Pavard de ne pas assister au coup de sifflet final. Un bon gros déblayage des chevilles de Messi, et c’est une pole position à la douche.

Upamecano – 2

Sur la lignée de sa finale de Coupe du monde. Ce diable de Dayot couvre à lui tout seul les 40 derniers mètres bavarois. Messi doit en faire des cauchemars à force de se le coltiner tout le temps.

De Ligt – 5

Le Néerlandais s’est vite décalé dans l’axe de la défense quand il a vu Mbappé entrer sur le terrain. Avouez-le, on l’a tous fait en cours d’EPS face aux mecs qui faisaient du sport en club.

Goretzka – 4

Sans surprise, Leon a effectué ses 15 kilomètres journaliers. Qui plus est dans la plus belle ville du monde, il y a pire comme footing nocturne.

Kimmich – 5

Véritable métronome du jeu bavarois, Kimmich n’a pas hésité une seule seconde à rendre hommage à Neuer avec ses frappes-dégagements en tribunes.

Musiala – 4

Quand tu vois ce qu’il est capable de faire dans la seule surface de réparation, c’est typiquement le genre de joueurs que tu veux absolument dans ton équipe au futsal.

Coman – 1

Comme lors de la finale 2020, Coman glace le clan parisien. Le PSG et les Titis, c’est toute une histoire quand même.

À lire aussi :   PSG - Bayern Munich | Coman évidence.

Choupo-Moting – 4

On a attendu son but avec impatience. Mais Gigio a décidé d’avoir la main ferme face à Choupo. Allez savoir pourquoi.

Muller – 6

On s’est découvert une nouvelle passion ce soir : voir Muller sprinter sur 40 mètres la tête en avant. Absolument fan.

Nagelsmann – 3

Si certains entraîneurs sont jugés frileux, ce n’est pas tellement le cas de Julian. Avec lui, pas question qu’un joueur de son équipe évolue dans sa propre moitié de terrain. Le football, ça se joue sur 45 mètres. C’est un concept après tout.

À lire aussi :   Voici pourquoi le PSG va nous régaler contre le Bayern Munich