Les notes FFL de Benfica Lisbonne – Paris Saint-Germain


Benfica - PSG

Le Paris Saint-Germain n’a jamais gagné dans son histoire au sein du nouvel Estadio da Luz. Au vu du nom du stade, on se demande bien pourquoi.

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Gianluigi Donnarumma – 4

Quatre parades à bout portant sur la seule première période. De quoi nous faire regretter Keylor Nav… Ah non en fait.

Danilo Pereira – 8

Sublime intervention du Portugais qui souhaite dégager le ballon du pied, mais qui le dévie finalement de la poitrine dans ses propres filets. C’est ce qu’on appelle sentir le jeu.

Marquinhos – 4

S’est fait assommer par Ramos sur un duel aérien. Pas Sergio, mais Gonzalo. C’est de famille on dirait.

Sergio Ramos – 6

Ramos a fait tout son possible en début de rencontre pour mettre à mal la défense parisienne ; passes à contretemps, transversales dans sa propre surface. Mais rien n’y fait. Merci quand même d’avoir essayé Sergio.

Marco Verratti – 4

On y a cru jusqu’à la 94e minute. Mais c’était méconnaître le football que de penser que c’était possible. Un match sas carton jaune pour Verratti ? Mathématiquement impossible.

Vitinha – 2

Insolent de maîtrise technique dans l’entrejeu, Vitinha n’a pas laissé exister ses compatriotes portugais. Il ne nous en voudra pas pour son 2.

Kylian Mbappé – 7

Difficile de rendre une feuille plus blanche que Kylian en première période. Les droits à l’image vont finir par ne plus lui rapporter grand-chose s’il devient si transparent.

Lionel Messi – 1

Lionel poursuit sur sa lancée qui ne nous plaît guère. Un nouveau but, une nouvelle lucarne trouvée. Nous préférions, et de loin, son cousin la saison passée.

Neymar – 3

Désormais, Ney n’hésite plus à traverser tout le terrain pour défendre sur une contre-attaque, et commettre une faute de vieux briscard. Si vous vous demandez quel est le plus grand exploit de la carrière de Galtier, il est là.

Odysséas Vlachodimos – 3

Le portier du Benfica s’est distingué en détournant la frappe enroulée de Mbappé par une main ferme digne d’un dieu grec. À faire pâlir la main molle de Benoît Costil le week-end dernier.

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Julian Draxler – 9

Qu’il porte la tunique du PSG ou bien de Benfica, le résultat est le même ; il subit le même sort qu’un effervescent dans un verre d’eau.

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Tom