France – Danemark | Les notes FFL de la rencontre


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Une semaine après la finale de la Ligue des Champions, le Stade de France abrite une rencontre sans incident et qui démarre à l’heure. Les traditions se perdent peu à peu.

Lloris – 6

Un arrêt au bout du bout qui aurait pu nous faire faire des cauchemars. Puis un missile encaissé sur son crâne. Un arrêt miraculeux pour rien qui nous sied plutôt bien.

Koundé – 6

Une première intervention nonchalante qui a presque permis au Danemark d’ouvrir le score. Sa marge avec Pavard est si grande qu’il peut se le permettre.

Varane – 4

Ça doit très certainement le changer d’être aligné aux côtés de Koundé et Hernandez et non pas avec l’immense Harry Maguire. Vaut mieux se mouiller la nuque.

Saliba – 8

Entré en jeu à l’heure de jeu, William a pu nous faire admirer sa puissance sur le second but danois. Un duel épaule contre épaule face à Cornelius qui n’est pas sans nous faire oublier le mythique échauffement entre Evra et Giroud.

Coman – 7

Fixation, débordement, centre, six mètres. Si le décalage extérieur de Robben faisait partie des classiques dans le football, celui de Coman n’a rien à lui envier.

Tchouaméni – 3

On se demande ce qu’il fait encore à l’AS Monaco. Après le Pogmentary, on attend avec impatience le Tchouamentary pour nous annoncer qu’il reste au Stade Louis II.

Kanté – 4

Une frappe enroulée pure, digne de Rafael Nadal sur le Chatrier. Cependant sa tentative n’a pas pris la ligne, mais le poteau.

T. Hernandez – 9

Magistralement placé sur les deux buts danois. On apprécie le petit pas de côté pour couvrir Cornelius. Et dire qu’il évolue en Serie A. Le catenaccio a bien changé.

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Griezmann – 7

Fidèle à ses 30 kilomètres parcourus, Antoine est passé à l’écran quand il frappait les corners. Pour le reste, ses gambades dans le pré de Saint-Denis n’ont pas effrayé les Danois.

Benzema – 1

Un slalom dans la surface, un râteau et un double contact plus tard, Benzema marque l’un des buts de l’année. Le tout dans un France – Danemark, et qui plus est sous nos yeux. On aurait pu lui donner le Ballon d’or sur la pelouse au terme des 90 minutes, histoire d’abréger nos souffrances jusqu’en octobre. Quoique.

Nkunku – 3

On oublierait presque que c’est lui le passeur décisif sur le but de Benzema. Le rôle ingrat par excellence.

Cornelius – 10

QUI D’AUTRE QU’UN ANCIEN GIRONDIN POUR CLIMATISER LE STADE DE FRANCE ? QUI ?

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Tom