Coupe du monde 2022 | Les notes de France – Danemark


Kylian Mbappé

Quatre jours seulement après le faux pas contre l’Australie, les Bleus devaient se racheter contre les Danois. Non seulement ils ont remporté le match et obtenu leur billet pour les 8es, mais ils ont en plus battu le Danemark pour la première fois depuis l’an 2000. C’en est trop pour nous.

La rencontre n’a pas encore commencé, et nous sommes déjà frappés par un deuil : pas de Benjamin Pavard sur le terrain.

Lloris – 3

Hugo n’a eu à faire qu’un seul arrêt dans ce match, mais ce dernier a sans doute été déterminant pour la suite de la rencontre. Une petite aide qui n’a pas échappé à notre radar.

Koundé – 8

Pas de Benjamin Pavard donc, mais un Jules Koundé on fire. Le Barcelonais a fait parler ses biceps et ses crampons dans cette partie, à défaut de faire parler ses pieds. La cheville de Nelsson likes this.

Varane – 5

De retour de blessure, Varane avait besoin d’un match tranquillou pour se remettre en jambes. Il a dû se coltiner Cornelius (1m95) et Dolberg (1m87) durant plus d’une heure. Le sens de l’empathie de DD.

Upamecano – 4

Contrairement à ce que nous avions prédit, Upamecano n’a pas honoré la deuxième partie de son nom. Aucune position en piston pour dérégler toute la défense. Trahison.

T.Hernandez – 3

On connaissait Théo Hernandez en contre-attaquant supersonique. Mais nous avions trop sous-estimé Théo dans le costume de défenseur. Il y aura un avant, et un après 38e minute contre le Danemark. Le petit pont de Rasmus Nissen Kristensen ne peut que laisser des séquelles.

PS : Théo n’était pas obligé de se rattraper en adressant la première passe décisive du match.

Dembélé – 2

Remuant, tranchant, percutant, déroutant, fatigant. Pour toutes ces raisons, Dembélé a fait très Maehle à la défense danoise.

Rabiot – 2

On espérait que son match face à l’Australie était un accident, il ne s’agissait en fait que du commencement.

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À deux doigts de nous doucher sur une reprise de volée de dinguo, et de faire sauter Twitter sans l’aide d’Elon Musk.

Griezmann – 3

À l’heure où le marathon kenyan subit une sombre affaire de dopage, un homme pourrait profiter de ce boulevard pour remporter les prochaines grandes courses : Antoine Griezmann. Avec ses 8 poumons, le record du monde serait accessible même lors de son décrassage.

Pour ce qui est de son caviar sur la cuisse de Mbappé, on réclame cependant des comptes.

Mbappé – 1

Kylian s’est donné un objectif avant le début de la partie ; tenter une frappe depuis toutes les zones du terrain. Y compris à 30 mètres des buts, excentré côté gauche. Une tentative qui n’a trouvé ni le chemin des filets ni les gants de Schmeichel, mais le crâne de Giroud. Complémentaires.

Bizarrement, quand Mbappé tente sa chance dans la surface de réparation, ça fait mouche. Pied droit ou cuisse droite, Mbappé a pu compter sur un Schmeichel fair-play.

Giroud – 6

Quelle soirée vécue par Olivier. Le buteur milanais s’est démené pour se rendre disponible, mais sans pouvoir bénéficier d’un seul centre ni de la moindre ouverture. Le seul ballon qui a trouvé sa tête, c’est la frapasse de zinzin de Mbappé. 99 en self-control.

Thuram – 4

La sortie de Giroud n’était pas une surprise, mais l’entrée de Thuram en attaque en a étonné plus d’un. Certes son doublé face à la Croatie a été salvateur en 98, mais de là à l’aligner sur le front de l’attaque, il y a un gouffre.

Christensen – 2

Le défenseur danois a haché ce qui pouvait être la meilleure action de la première mi-temps. Mbappé qui part seul en profondeur, avant que ce bon vieil Andreas ne le découpe. Pour une maigre biscotte. Christensen serait redoutable dans l’émission Affaire conclue.

Et comme si ça ne suffisait pas, le bourreau des Bleus plombe également la seconde période avec son coup de boule à bout portant. Un homme de goût cet Andreas.

Cornelius – 7

Une giga semelle sur Olivier Giroud, et un tir surpuissant sur le panneau publicitaire. Il n’y a pas à dire, Cornelius a apporté quelque chose de différent dans ce match. Et on croit savoir pourquoi.

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