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Ligue des Champions | La fin de match surréaliste entre l’Inter et le Barça

Comment ne pas aimer ce sport chers amis ? Quelle compétition peut se targuer d’offrir autant d’émotions que la Ligue des Champions ? Hormis la Liguain of course.

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Un match retour aussi fou qu’à l’aller en Ligue des Champions

Si le match aller a été grandiose, on cherche encore le terme pour le retour. Entre les Milanais et les Barcelonais, tout était à refaire après le match nul à l’aller (3-3). Et quand les hommes de Simone Inzaghi mènent 2-0 à la pause, on se dit que nous allons assister au remake de 2010. Mais ça, c’était avant qu’Eric Garcia ne redonne de l’espoir aux Catalans, très vite détruit par les immenses gants de Yann Sommer. Si ce nom vous hante et que vous ne savez pas pour quelle raison, cherchez peut-être du côté de l’Euro 2020, allez savoir.

On joue alors la 87e minute, et Raphinha pense offrir la victoire et la qualification pour la finale au Barça (3-2). Une double frappe, dont la deuxième ne laisse aucune chance à ce diable de Sommer. À ce moment précis, les Catalans rêvent encore du triplé, au cours d’une saison où leurs grands amis madrilènes remporteront autant de trophées que l’En Avant Guingamp (absolument gratuit).

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Francesco Acerbi attend déjà sa statue à San Siro

Mais à la 90+3e minute, c’est le clou du spectacle. Alors qu’on ne mettrait pas une lire sur les Intéristes, Francesco Acerbi sort de sa défense centrale et se mue en renard des surfaces. 3-3. En un seul but, il crucifie deux clubs ; le Barça et le Milan AC. Et celui-ci n’est autre que le premier de sa carrière en Ligue des Champions, soit plus que Cristiano Ronaldo et Lionel Messi réunis cette saison. Arrêtons de comparer ces trois joueurs, et profitons.

Puis comme si cela ne suffisait pas pour le cœur des Barcelonais, Frattesi offre le but du 4-3 pour l’Inter, et grimpe sur un portail sans aucune raison. Le foot rend dingue, épisode 362863. Donc si on récapitule bien, le Barça a mené pour la première fois de la double confrontation à partir de la 87e minute, et pensait tenir sa finale jusqu’à la 90+2e minute. Les Catalans ont donc eu droit à cinq minutes de bonheur. Mais que les Blaugrana se ressaisissent, il y a une Liga à perdre en chemin face au Real pour offrir un choke monumental à la FEL.

On se quitte avec l’analyse d’Eric Garcia après la rencontre. Cette énergie ou rien.

“Ils sont qualifiés en finale, bravo à eux. Mais je pense encore que nous sommes la meilleure équipe” Eric Garcia

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Tom
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