Football | La séance de pénos complètement folle entre l’Argentine et l’Équateur !


Lionel Messi

En parallèle de l’Euro, le continent américain organise la 48e édition de la Copa América. Alors pour ceux qui n’ont pas le courage de se frapper des nuits blanches pour assister à ces rencontres, la FFL se fait un malin plaisir de ressortir les plus grands moments de lose du tournoi. Le dernier en date ; la séance de tirs au but entre l’Argentine et l’Équateur en quarts de finale. Avec vous savez qui en fossoyeur des espoirs équatoriens.

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Rodriguez douche Martinez

On s’était laissés avec le nouveau chambrage de Dibu Martinez lors de la victoire face au Chili, et bah ça tombe bien, car c’est à nouveau de l’Argentine dont nous allons parler. L’Albiceleste affrontait l’Équateur en quarts de finale, et autant vous dire que les champions du monde en titre étaient les grandissimes favoris de cette rencontre. On vous la fait courte ; les Argentins ouvrent le score, avant qu’Ener Valencia n’ait une chance d’égaliser avec un pénalty. Bien sûr, c’est une nouvelle fois Martinez qui sort vainqueur de ce duel, ou plutôt l’Équatorien qui se foire complet en trouvant le poteau. Une question de point de vue.

Mais rassurez-vous, les Argentins se font punir dans le temps additionnel par un but sur le gong de Kevin Rodriguez à la 90+2e minute. La climatización.

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Messi avait encore une fois montré la voie…

On en vient à cette fameuse séance de tirs au but. Asseyez-vous, car là encore, c’est du TRÈS grand spectacle. Lionel Messi est le premier tireur argentin, et comme toujours, celui qui tire le premier est censé montrer la voie à ses coéquipiers. Leur donner une dynamique positive pour leur éviter d’avoir la pression sur les épaules d’entrée. Mais ça, Léo n’en a strictement rien à secouer. La Pulga tente une panenka alors que le moment est plus que critique, on aime cette prise de risque totalement inconsciente. D’autant plus quand cette dernière fait flop ; le ballon s’élève et vient se fracasser contre la barre transversale. Un pur régal pour les yeux.

L’Équateur est donc en ballotage favorable, mais la Tricolor oublie un détail de taille ; Emiliano Martinez. Les Français le savent, le gardien peut provoquer quelques cauchemars. Et face à l’Équateur, Dibu va encore faire couler des larmes dans le camp adverse. Ce n’est pas une, mais deux parades qui anéantissent l’espoir de tout le peuple équatorien. Suivi, tradition oblige, d’une petite dans du ventre en guise de chambrage. Tout y est. L’Argentine passe en demies, l’Équateur trépasse.

Français et Équatoriens devraient créer une amicale des victimes d’Emiliano Martinez.

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Tom