Football Australien – La lose du Stade Toulousain


Footy France FFL

Football, Rugby, Tennis… il est temps de laisser la place un peu aux autres. Nous accueillons donc aujourd’hui le Stade Toulousain Football Australien dans notre belle fédération. Lors de la finale française face au Paris Cockerels, ils ont fait ce que l’on pensait chasse gardée de nos rugbymans: une seconde mi temps désastreuse.

Alors pour commencer, qu’est ce que le Football Australien, ou Footy ? Un subtil mélange de football, rugby, lutte gréco-romaine et de MMA, où l’on joue à beaucoup contre beaucoup 4 quarts temps de 20 minutes sur un terrain ovale. Pour les points, nous utiliserons la définition Wikipedia “L’objectif de chaque formation est de mettre le ballon ovale dans les buts adverses à l’aide des pieds et de le faire plus souvent que l’autre équipe.”. Limpide

Bref, un sport de gentlemans bien souvent dominé par… des australiens, évidemment. Et à ce petit jeu, en France, ce sont les parisiens qui dominent, aidés de 3 wallabies dans leur effectif (La rumeur dit qu’ils sont les seuls à comprendre les règles par ailleurs). Et pourtant, face aux tenants du titre, la première période se passe bien mieux qu’ils auraient pu l’esperer : 66 – 37.

Et là, on ne connait pas la teneur du discours du coach lors de la pause, mais nul doute que ça a porté ses fruits. Un retour des vestiaires avec des grosses ambitions pour passer à 72-102 pour les parisiens à la fin du 3ème quart. Soit un 6 à 65 en 20 minutes. On n’est pas experts, mais on se doute bien que c’est une petite rouste des familles. Les australiens sont surement sortis de leur sieste et le score final sera de 86-141, avec l’australien Ben Simpson en meilleur marqueur. Il sera également homme du match, et meilleur joueur du championnat. Hop, tous les titres pour un non-français, c’est pas beau ça ?

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Comme ils nous l’ont si bien dit en off, le plus dur pour les toulousains n’est probablement pas la défaite face aux parisiens, probablement plus fort qu’eux. Ca n’est pas non plus de prendre une remontada, ça arrive. Mais prendre une remontada face aux parisiens, experts dans le domaine, ça, ça pique.

 

 

Antoine