Exclu : Ce qui a convaincu Messi de rejoindre Miami


Ça y est, c’est officiel : Lionel Messi dit adieu à l’Europe pour les palmiers. Non pas ceux de d’Arabie saoudite, mais bien ceux de Miami. La FFL a réussi à mettre la main sur des informations exclusives du choix de Léo. Voici les critères qui ont fait basculer son choix.

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On pourrait penser que son choix de poser ses valises à Miami s’explique par le rêve américain, sa proximité avec l’Argentine ou bien encore le fait de vivre dans la même ville que Romain GrosjeanMais ce serait vraiment mal connaître Léo.

Un adieu face à Clermont

Existe-t-il une meilleure manière de dire adieu à l’Europe qu’en jouant son dernier match face au Clermont Foot 63 ? Et en le perdant qui plus est, avant de recevoir une bronca de son propre public ? Soigner sa sortie a rarement pris autant son sens.

L’argument déterminant : les embouteillages

D’abord un secret de polichinelle, puis ensuite de notoriété publique, la relation toxique entre Messi et les embouteillages parisiens a pesé sur la Pulga.

“Nous étions dans le centre de Paris et cela rendait la circulation insupportable. Il nous fallait une heure pour aller à l’école et une heure pour aller à l’entraînement” L. Messi

Après avoir ragé sur les bouchons à Paris (tel un Parisien), Lionel avait une seule condition pour sa prochaine destination ; ne plus passer 69 heures par an dans les bouchons, soit la 9e ville la plus embouteillée au monde. Après de longues recherches, Léo a découvert que Miami était moins bouchonné que la capitale française. En deux temps, trois mouvements, all-in sur Miami. Alors certes la ville floridienne est moins embouteillé que Paris, mais cela ne l’empêche pas d’occuper… la 10e place de ce classement. Ce ne seront plus que 64 heures de bouchons par an désormais. 5 heures de gagnées chaque année, un véritable life changer. 

Métromover > RATP

On poursuit dans notre chapitre transports. Après la voiture, place au métro. Entre les wagons bondés et ceux qui ne passent jamais pour cause de grèves, Messi a dû se régaler en se déplaçant dans la capitale. Il n’y a qu’en France que des comptes comme celui-ci existent.

A 7 000 kilomètres de là, vous avez des métros aériens qui relient les buildings les uns aux autres. Entre le Métromover et le métro pas à l’heure, la question est vite répondue.

Miami Beach > Paris Plage

D’un côté, vous avez 3,5 km de sable sur du béton durant 2 mois avec interdiction de se baigner dans une eau sombre et polluée. De l’autre, 10 km de plage dans un décor de carte postale sous un ciel radieux et 30°C de température moyenne. Vous pensez que la famille Messi a hésité durant combien de dixièmes de seconde pour prendre sa décision ?

Jouons au jeu des 777 différences :

Miami Beach
Paris Plage

Disney World > Aquaboulevard

Alors oui, on sait, vous allez nous rétorquer dans la seconde que Disney World est à Orlando et non à Miami. Mais entre nous, Messi met moins de temps à rallier Miami à Orlando en jet privé que nous quand on doit aller acheter une baguette de pain au coin de la rue. Oui, l’exemple est on ne peut plus cliché. En plus, il y a Universal Studios à côté.

Dauphins > rats

L’emblème de Miami n’est pas un ballon de feu qui entre dans un cercle, contrairement à ce que pourraient penser tous les fans du Heat. Non, il s’agit du dauphin. D’ailleurs, les Miami Dolphins de NFL n’ont pas tardé à souhaiter la bienvenida à Léo.

Ainsi, la situation était plutôt simple pour Messi : préférait-il admirer des dauphins foncer à la surface de l’eau ou bien des rats foncer sur les passants parisiens ? Là encore, une grande réflexion a dû avoir lieu.

Projet sportif Inter Miami > Paris

Il y a pire comme projet sportif que de rejoindre le finaliste de la Ligue des Champions.

Tom