Vous hésitez à rejoindre la secte des chaussures carbone, avec la Kiprun KD900X.2 déjà dans votre viseur ? On vous comprend : cette paire signée Décathlon intrigue. Mais peut-elle vraiment rivaliser avec les stars du marché ? Va-t-elle vous propulser vers un titre mondial sur 10 000 m comme Jimmy Gressier (bon, on en doute un peu…) ? Rassurez-vous, on s’est posé exactement les mêmes questions… jusqu’à ce qu’on les enfile et qu’on leur colle plus de 100 km, avec de grosses séances à la clé. Spoiler de ce test Kiprun KD900X.2 : à ce prix-là, difficile de ne pas craquer… sauf si vous tenez absolument à claquer 250 € pour finir en DNF avec panache.
Avant le test : ce que Kiprun promet avec sa KD900X.2
Depuis quelques années, Kiprun n’est plus seulement la « marque de dépannage » des coureurs occasionnels. Avec la KD900X.2, Décathlon confirme son ambition : rendre la chaussure carbone accessible à tous, sans sacrifier la performance. Positionnée à 129,99 €, soit moitié moins cher que la plupart des supershoes concurrentes, cette deuxième génération se veut plus légère, plus réactive et surtout plus polyvalente. Conçue en collaboration avec des athlètes comme Jimmy Gressier ou Méline Rollin, elle s’adresse aussi bien aux compétiteurs qu’aux coureurs réguliers qui veulent découvrir la sensation carbone sans se ruiner.
Sous le capot, la KD900X.2 affiche des évolutions notables par rapport à la première version : une mousse VFOAM en A-TPU (plus dynamique et amortissante que l’ancien Pebax), une plaque carbone incurvée, et une géométrie retravaillée pour optimiser le retour d’énergie tout en réduisant la fatigue musculaire. Avec moins de 200 g sur la balance (195 g en 42), un drop de 8 mm et une semelle extérieure renforcée pour la durabilité, elle vient marcher sur les plates-bandes de modèles comme la Nike Vaporfly ou la Saucony Endorphin Pro… mais à prix cassé. Reste à savoir si cette promesse se confirme sur le terrain : c’est ce qu’on a voulu vérifier avec ce test Kiprun KD900X.2.
Comme l’a affirmé le responsable de Kiprun dans une interview accordée à Sport Buzz Business, la marque, en lançant ce type de modèles, confirme son ambition de concurrencer les géants du running et d’intégrer le top 5 du marché.
Zoom sur la Kiprun KD900X.2
Poids | 195 g (homme) / 182 g (femme) |
Drop | 8 mm |
Hauteur talon semelle | 40 mm |
Tige | Mesh technique transparent & respirant |
Semelle interieure | Mousse VFOAM (A-TPU) + plaque carbone incurvée |
Semelle extérieure | Caoutchouc renforcé, très adhérent |
Avec ce modèle, Kiprun change de dimension et propose bien plus qu’une simple chaussure « budget ». Plaque carbone incurvée, mousse VFOAM ultra réactive, poids plume sous les 200 g… le tout à 129,99 €. Alors, vraie révolution accessible ou simple coup marketing signé Décathlon ? La réponse est dans notre test Kiprun KD900X.2 !
Spoiler (pour ceux qui n’aiment pas lire plus de 2 minutes)
Avant de décortiquer le test, voici mon premier retour sur les Kiprun KD900X.2 : leurs atouts et leurs faiblesses.
Ce qui m’a bluffé ✅ | Points à améliorer ⚠️ |
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Test des Kiprun KD900X.2 ! On a enfilé la chaussure carbone la moins chère du marché pour voir si Décathlon avait vraiment lancé une fusée…ou juste trouvé un alibi béton pour ne pas battre notre RP 😉.
Mon test Kiprun KD900X.2 : le contexte et les séances réalisées
Tester une chaussure carbone, ce n’est pas faire deux footings pépères et balancer un verdict à la va-vite. Si tu cherchais un avis Kiprun KD900X.2 complet et sans filtre, le voilà : plus de 100 km parcourus entre fin juillet et mi-septembre, pile au moment où je lançais ma préparation 10 km pour passer sous les 35 minutes. Autant dire qu’elle est arrivée au bon moment… et qu’elle n’a pas eu droit à un traitement de faveur.
Le cadre du test Kiprun KD900X.2 :
📅 Période : fin juillet à mi-septembre 2025
🏃♂️ Profil : 23 ans, 6 à 7 séances par semaine, entre 70 et 100 km hebdo
👟 Volume total : plus de 100 km parcourus
🎯 Types de séances : VMA, séances de côte, blocs au seuil, allure 10 km, échauffements et retours au calme
La KD900X.2 a tout connu : VMA bien corsée (10 x 400 m), séances de côte (10 x 30 secondes), travail au seuil (2 x 4 km), blocs à allure 10 km (4 x 2000 m, 6 x 1000 m)… et même quelques échauffements et retours au calme. Mais dans l’ensemble, je l’ai surtout réservée pour le cœur des séances, là où ça pique et où une chaussure carbone doit vraiment montrer ce qu’elle a dans le ventre. Piste, bitume, routes d’entraînement : elle a encaissé sans faiblir… contrairement à moi qui ai failli négocier un abandon dès le 3ᵉ 2000 😅. Cerise sur le gâteau, j’ai même claqué un RP sur 5 km à l’entraînement (16’50) avec elles aux pieds. Pas mal pour une paire à 130 €…
Mon avis sur le design et mes premières impressions
Pas de grosse boîte flashy comme chez Nike ou Hoka : la KD900X.2 arrive dans un petit sac tout simple, signé Kiprun. Pratique, léger, réutilisable… bref, ça annonce la couleur : ici, on va droit au but. Pas de chichi, tout est pensé pour courir. Et honnêtement, c’est plutôt malin (et un peu écolo). Perso, je m’en sers pour aller à la piste : je pars en échauffement avec une paire de footing aux pieds, et j’emporte mes Kiprun dans le sac pour le corps de séance. Simple et efficace.
👉 Un design moderne et travaillé
Visuellement, Décathlon frappe fort. La silhouette est fine, l’allure moderne et le mesh transparent renforce l’effet technique. Impossible d’y voir une “simple paire Décath’” au premier coup d’œil : c’est sobre, efficace et ça attire l’œil. J’aime beaucoup le choix des coloris et surtout le combo proposé sur cette version, qui donne un rendu vraiment réussi. On dirait presque une paire haut de gamme… jusqu’à ce que tu te rappelles que tu l’as payée moitié prix d’une Metaspeed.
👉 Matériaux & finitions
Le mesh est si fin qu’on voit à travers. On pourrait croire que c’est fragile, limite jetable… mais surprise : l’assemblage est propre, les coutures bien posées, et la semelle extérieure inspire confiance. Ce n’est pas une œuvre d’art à mettre dans un musée, mais pour une chaussure carbone à 130 €, ça sent le sérieux.
👉 Enfilage express
Le pied glisse sans effort, le talon se cale naturellement et les lacets font leur job. Pas de frottements bizarres ni de zones qui coincent. Le mesh épouse bien le pied, même si on sent que c’est pensé pour la légèreté plus que pour le maintien de ferme. Dès que tu les mets, t’as qu’une envie : partir sur une grosse séance VMA et finir couché par terre à contempler les nuages.
👉 Sensations une fois aux pieds
Au sol, la mousse se montre plutôt ferme : oublie l’effet coussin gonflable, on est clairement plus sur du dynamisme que sur du moelleux XXL. L’appui reste stable, le pied bien calé, et aucune zone ne serre ou ne frotte. La légèreté de la chaussure se ressent immédiatement, on a vite l’impression de courir “libre”, sans poids superflu. Résultat : tu peux enchaîner les kilomètres sans te prendre la tête, même lors de séances répétées dans la semaine.
En résumé : pas de fioritures, pas de marketing bling-bling : la KD900X.2 joue la carte de la simplicité bien pensée. Légère, moderne, facile à enfiler… et surtout loin d’être moche.
Légère, bien finie et moderne, la KD900X.2 montre que Kiprun sait aussi soigner le design sans oublier la fonction.
Mon retour d’expérience en conditions réelles de la Kiprun KD900X.2
👉 Un dynamisme qui surprend
La première fois que j’ai enfilé ce modèle de Kiprun carbone, je ne savais pas quoi m’attendre. Une chaussure carbone à 130 €, ça sentait le compromis. Et pourtant, dès les premières foulées, j’ai compris que j’avais sous-estimé la bête. Avec ses 195 g en 42, on a l’impression de courir pieds nus, mais avec un vrai coup de fouet sous le pied. La combinaison de la mousse VFOAM (A-TPU) et de la plaque carbone flexible fait toute la différence : chaque appui se transforme en propulsion vers l’avant.
Je l’ai particulièrement ressenti sur une séance de 6 x 1000 m à allure 10 km. Habituellement, sur ce genre de bloc (sans paire carbone), je sens mes jambes commencer à s’alourdir après le 4ᵉ ou 5ᵉ. Là, au contraire, la KD900X.2 m’a donné l’impression de relancer à chaque répétition. Clairement, sans cette chaussure, je n’aurais pas trouvé la même régularité. Elle ne fait pas courir toute seule (faut quand même envoyer), mais elle donne ce petit supplément de dynamisme et de retour d’énergie qui fait la différence.
👉 Un confort calibré pour la performance
Si tu cherches une chausson façon Hoka Clifton , oublie. Ici, l’amorti est ferme, assumé, mais justement calibré pour la performance. Le stack de 40 mm au talon et le drop de 8 mm créent un déroulé efficace, sans contrainte musculaire particulière. J’ai pu enchaîner des blocs de 2 x 4 km au seuil sans ressentir d’écrasement ni de perte d’énergie : chaque foulée repartait proprement.
En revanche, lors d’un footing très cool à 5’10/km, je l’ai trouvée trop rigide, presque “bridée”. La KD900X.2 n’est clairement pas faite pour trottiner sans but, elle s’exprime quand tu la secoues. Si tu veux une paire pour courir relâché le lendemain d’une grosse séance, passe ton chemin. Mais si tu veux une paire pour envoyer du lourd, elle répond présent.
👉 Stabilité et maintien rassurants (mais perfectibles)
Globalement, la KD900X.2 fait un sans-faute côté confort et sensations. Le talon est bien calé, la toe box laisse de la place aux orteils, et sur piste comme sur route, l’adhérence est plutôt bonne. Même lors de mes séances de côte ou de fractionné appuyé, je n’ai jamais eu de mauvaise surprise.
S’il fallait pointer un point à améliorer, ce serait sans doute le maintien global. Rien de gênant au quotidien, mais on sent qu’il pourrait être encore plus verrouillé, surtout pour les coureurs au pied large ou sur les virages serrés. C’est plus une marge de progression qu’un vrai défaut.
En clair : une chaussure stable et rassurante, qui inspire confiance, et qui pourra être encore plus aboutie si Kiprun renforce légèrement cet aspect sur la prochaine version.
👉 Une respirabilité qui change la donne
Le mesh, c’est un peu le pari osé de Kiprun : ultra fin, léger, mais étonnamment résistant. En plus, il est super respirant. J’ai fait une sortie longue par plus de 25 °C, et je n’ai jamais eu cette sensation de surchauffe que je peux avoir avec certaines chaussures plus “enveloppantes”.
Malgré sa légèreté, le tissu tient le coup : après plus de 100 km, pas de traces d’usure, la structure reste intacte. Le fait que Kiprun ait travaillé avec des matériaux plus durables et responsables est un petit plus, mais surtout, ça rassure sur la longévité de la paire.
👉 Polyvalence en entraînement et compétition
Ce qui m’a le plus surpris, c’est sa polyvalence. Je l’ai utilisée sur des VMA courtes (10 x 400 m), du seuil, des côtes, de l’allure spécifique 10 km, mais aussi sur des sorties longues avec allures progressives. À chaque fois, elle a parfaitement rempli son rôle.
Le jour où j’ai claqué mon RP sur 5 km, j’ai compris qu’elle pouvait être une vraie chaussure de compétition, pas seulement une paire d’entraînement. Elle rivalise sans problème avec des supershoes deux fois plus chères. Alors oui, elle est un peu plus ferme que certaines concurrentes, mais pour moi, c’est un compromis qui marche très bien : elle te pousse quand tu accélères, mais te protège quand les kilomètres s’allongent.
🎯 Pour qui je la recommande ?
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Coureurs réguliers : si tu veux découvrir la sensation carbone sans claquer 250 €, c’est sûrement le meilleur ticket d’entrée.
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Compétiteurs : idéale pour un 5 km, 10 km ou un semi, elle offre le dynamisme nécessaire pour tenir un rythme soutenu du début à la fin.
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Coureurs avec une grosse rotation : parfaite comme paire d’entraînement dédiée à la vitesse, au seuil ou aux allures spécifiques (du 5 km jusqu’au marathon), pour alterner avec tes chaussures plus “confort”.
De mon côté, la KD900X.2 s’intègre parfaitement dans ma rotation. Avant, j’avais un “entre-deux” : l’Asics Noosa Tri, top pour la vitesse pure mais pas dingue pour le seuil, et l’Asics Novablast, sympa pour le seuil tranquille, le tempo ou l’allure marathon, mais moins nerveuse quand il fallait accélérer. Avec la Kiprun, j’ai enfin une paire qui peut englober tout ça : vitesse, seuil, travail des allures du 5 km au marathon.
Petit bonus non négligeable : m’entraîner régulièrement en carbone me permet de mieux récupérer et d’envoyer de meilleurs chronos à l’entraînement. Et quand on court quasiment tous les jours, ça change tout.
En résumé : après plus de 100 km, cette paire de Kiprun à plaque carbone m’a bluffé par son dynamisme et sa légèreté. Elle s’exprime vraiment quand il faut envoyer, tout en restant suffisamment protectrice pour encaisser les kilomètres. Pas conçue sur les footings très cools, mais redoutable dès que l’intensité monte.
La KD900X.2 ne court pas à ta place, mais elle transforme chaque foulée en propulsion. Une vraie alliée quand il faut appuyer.
KD900X.2 vs à la Metaspeed et la gamme carbone Kiprun
Face à l’Asics Metaspeed Sky (que j’utilise depuis un an pour mes courses officielles), la KD900X.2 joue presque dans la même cour, mais sans viser tout à fait le même public. La Metaspeed reste l’arme de compétition pure : rigide, explosive, conçue pour les élites et les chasseurs de chrono. La Kiprun, elle, surprend par son côté plus tolérant et polyvalent : moins radicale, mais avec un dynamisme qui n’a rien à envier aux meilleures. Et pour être honnête, cette paire est tellement un coup de cœur sur ma prépa que j’hésite presque à la sortir dans moins de deux semaines pour mon 10 km… à la place de ma Metaspeed (Peu importe laquelle je choisis, ça restera un choix gagnant).
Décathlon n’a pas sorti qu’une seule paire carbone. La KD900X.2 doit se faire une place dans une gamme déjà bien fournie, aux profils différents :
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KD Kipstorm Lab : C’est la paire “laboratoire” de Kiprun. Ultra élitiste et expérimentale, elle a été conçue pour les coureurs les plus exigeants, ceux qui cherchent le compromis ultime entre vitesse et rendement. Utilisée notamment par Jimmy Gressier pour son record d’Europe du 5 km, c’est une chaussure pensée avant tout pour la performance pure, sans concession. La KD900X.2 se place clairement à l’opposé : beaucoup plus accessible (129,99 €), moins radicale, mais avec un équilibre qui parle à une majorité de coureurs, même réguliers.
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KD900X LD+ : C’est la première vraie longue distance carbone développée par Kiprun. Conçue pour le marathon et les gros volumes, elle mise avant tout sur le confort et la stabilité pour rassurer quand les kilomètres s’accumulent. Plus lourde et plus amortie que la KD900X.2, elle se distingue par sa capacité à encaisser les 42 km sans broncher. En revanche, elle reste moins explosive dès qu’il s’agit d’accélérer, là où la KD900X.2 brille sur les allures rapides. Plus exigeante que la moyenne, elle s’adresse surtout aux coureurs confirmés capables d’encaisser sa fermeté. En échange, elle assure ce que beaucoup recherchent sur longue distance : une fiabilité et une performance durables, du 10 km jusqu’au marathon.
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KD900X LD2 : Ce modèle prolonge la lignée orientée marathon de Kiprun, avec un confort nettement amélioré par rapport à la première LD. Plus lourde (225 g en 42) mais bien amortie grâce à la mousse VFOAM+ et sa plaque carbone, elle offre une foulée fluide et stable, idéale sur semi et marathon. Moins explosive que la KD900X.2 sur 5 ou 10 km, elle joue la carte de l’endurance et de la régularité, avec un rapport qualité/prix très solide à 179,99 €.
Mon avis Kiprun KD900X.2 : un vrai coup de cœur
Après plus de 100 km parcourus avec (piste, bitume, séances rapides, sorties longues), je peux le dire : cette paire de Kiprun carbone, c’est une vraie bonne surprise ! Très légère (195 g en 42), dynamique sans être brutale, accessible sans être basique… c’est la chaussure carbone qui prouve qu’il n’y a pas besoin de mettre 250 € pour se faire plaisir et performer. Elle donne du rebond, garde de la stabilité, et se montre plus tolérante que des supershoes élitistes.
Est-ce qu’elle fait courir toute seule ? Non, il faut quand même appuyer 😅. Est-ce qu’elle donne ce petit surplus d’énergie qui change une séance ? Oui, clairement. C’est une paire qui te pousse à en mettre un peu plus, sans t’exploser les jambes derrière.
🏃♂️ À qui s’adresse la Kiprun KD900X.2 ?
✅ Pour les coureurs réguliers qui veulent tester la sensation carbone sans exploser le budget.
✅ Pour les compétiteurs qui visent un 5 km, 10 km ou un semi à bloc.
✅ Pour les coureurs avec une grosse rotation qui cherchent une paire dédiée aux séances rapides (VMA, seuil, allures spécifiques).
🙅♂️ Pour qui ce n’est clairement pas la bonne option
❌ Si tu veux une chaussure ultra moelleuse type Hoka Clifton, passe ton chemin.
❌ Si tu cherches une paire pour trottiner en EF ou pour la récup, elle est trop ferme.
❌ Si tu aimes les modèles taillées pour la performance pure façon Vaporfly/Metaspeed, tu la trouveras plus tolérante mais moins extrême.
Ce qu’il faut retenir du test Kiprun KD900X.2
Un rapport qualité/prix imbattable (129,99 €), une légèreté bluffante et un dynamisme qui surprend. La KD900X.2, c’est l’outsider qui s’invite dans la cour des grandes. Presque parfaite et redoutablement efficace dès qu’il faut envoyer.
La KD900X.2, c’est la preuve qu’on peut s’entraîner et performer avec une paire carbone… sans vendre un rein.
Ce qui m’a bluffé ✅ | Points à améliorer ⚠️ |
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