Toyota est une marque incontournable du sport automobile. Mais aussi, la marque nippone se créé sa propre légende avec des finishs de poissard qui n’existent nul par ailleurs. Ce week-end, elle a encore ajouté une brique à sa lose, en GT 500 avec Ryō Hirakawa.
Une course parfaite, à 100 mètres près.
Alors que le championnat était serré de toute part, Hirakawa nous a effectué un week-end propre de bout en bout, ou presque. Parti en pôle position, il n’a jamais lâché la tête de la course. Gestion de course parfaite, il laisse la Honda de Yamamoto et Makino à distance de sécurité suffisante pour s’assurer la victoire de la course, mais aussi du championnat.
Sauf que, comme aux 24 heures du Mans en 2016 ou en WRC en 1998, Toyota est spécialiste des finishs désastreux. Et Hirakawa va voir sa voiture en panne d’essence à… 100 mètres de l’arrivée. Dans la dernière ligne droite. Au ralenti, il aura donc tout le temps de voir donc débouler la Honda de Naoki Yamamoto (aperçu brièvement en essais libres de F1 l’année dernière) qui va lui prendre non seulement la victoire sur l’épreuve du Fuji Speedway, mais aussi tout simplement le titre du GT 500. En effet, cette épreuve était tout simplement la dernière du championnat.
Fabuleux. Tout simplement fabuleux.
DRAMA 😱 all the way to the line! Naoki Yamamoto and @tadasuke0628 take the 2020 @SUPERGT_JP championship on the final straight! 🏆 #PoweredByHonda
— Honda Racing F1 (@HondaRacingF1) November 29, 2020
Et pour revivre le finish incroyable des 24h du Mans 2016