Connu avant tout pour ses trahisons à répétition envers la Fédération Française de la Lose, Alexis Hanquinquant maîtrise aussi l’art de la transition… en interview. Alors qu’il vise un 8ème affront Mondial dans la nuit de vendredi à samedi à Wollongong en Australie, le Normand s’est prêté au jeu de l’interview FFL. Et, pour une fois, il ne nous a pas déçus.
« Demande aux autres deuxièmes »
Installé devant un backdrop Matmut (son fidèle soutien) prêt à en découdre, Hanquinquant a répondu à nos questions les plus taquines mais aussi désespérées, avec son calme habituel. Le même calme avec lequel il terrasse ses adversaires depuis une décennie. Il clarifie donc tout de suite : non, tester la deuxième place ne l’intéresse pas. On aura tenté…
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La prothèse en raclette à souris
Certains champions paraissent fades en interview. Alexis, lui, a de l’autodérision à revendre.
Entre ses anecdotes de raclette à souris et notre précédente rencontre lors de son titre national de Cabourg, le Normand dégaine la vanne plus vite que sa chaussure de vélo en T2.
Avec une béquille, ça pourrait être pas mal !
Ce qu’on retiendra, c’est surtout sa solution pour enfin rejoindre la FFL : attendre. De ses mots, la vieillesse finira peut-être par l’aider à rater. En attendant, pas d’autre choix pour nous que de prendre notre mal en patience. Et franchement, ça nous fait une belle jambe.
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