Tennis | La débandade fulgurante d’Arthur Fils au Masters 1000 de Madrid


Arthur Fils

Le Masters 1000 de Madrid était censé nous jouer de mauvais tours au vu de la forme du moment de nos Français sur terre battue. Mais Arthur Fils ne l’a pas entendu de cette oreille. Le timing est parfait à un mois de Roland-Garros.

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Arthur Fils brille sous le soleil de Madrid

Le Masters 1000 de Madrid a déjà offert l’immense déception Gaël Monfils au premier tour. Alors à ce même stade de la compétition, son compatriote Arthur Fils pensait rejoindre la Monf’ en se défaisant de Fancisco Comesana. L’Argentin, 70e joueur mondial, ne devait pas faire le poids face au Français sur le papier, et son quatorzième rang à l’ATP. Mais comme bien souvent, la logique n’est pas respectée quand un tennisman tricolore se trouve sur un court de tennis aux quatre coins du monde.

Pourtant, tout avait si mal commencé pour Arthur Fils. Le Français remporte les quatre premiers jeux de la partie, et mène même 5-1 30-15. Une première manche quasiment dans la poche donc, enfin, dans un monde rationnel. Car si Fils sert à trois reprises pour le gain du premier set, par trois fois, il se fait débreaker. Immense. Et comme si cela ne suffisait pas, le Français perd le tie-break dans la foulée. Le tout en ayant mené 5-1 et s’étant retrouvé à deux petits points du premier set. On n’a plus les mots.

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Le Masters 1000 de Madrid vend du rêve à la FFL

On pourrait alors craindre que le Français se rebelle dans la deuxième manche, et égalise au tableau d’affichage, mais c’est à la place une défaite 7-6 6-4 qui attend le quatorzième joueur mondial. Celui qui restait sur quatre quarts de finale de rang doit donc mettre le clignotant sur le bas-côté dès le premier tour du Masters 1000 de Madrid.

Mais Arthur Fils n’est pas le seul Français à avoir fait honneur à la terre battue madrilène en ce vendredi. En effet, Harold Mayot s’est incliné face à Francisco Cerundolo, quand Arthur Rinderknech n’a rien pu faire contre Casper Ruud. Trois défaites françaises qui nous donnent du baume au coeur, seulement gâchées par le succès de Benjamin Bonzi sur Hubert Hurkacz. Mais on prend quand même.

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