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Tournoi des 6 Nations | Les notes de XV de France – Angleterre

XV de France

Vainqueur face aux Gallois la semaine dernière, le XV de France avait la possibilité de réaliser le 10e Grand Chelem de son histoire face aux Anglais ce soir. Et c’est une mission finalement accomplie face au XV de la Lose.

Bon, on a beau se gargariser sur les craquantes bleu blanc rouge en temps normal, devoir supporter les Anglais ne faisait pas partie du plan au départ.

Mais il faut dire que l’avant-match nous a plutôt fait changer d’avis.

À lire aussi :   XV de France | Le Top 5 des Grands Chelems perdus sur le gong

Atonio – 2

Comme face aux Gallois, Uini décide de punir les Anglais sur chaque contact. The Punisher of the XV de France.

Marchand / Baille – 2

On a rarement vu la mêlée anglaise manger autant de mètres carré de gazon dans un seul match de rugby. Les coupables ? Le tandem Marchand – Baille.

Woki – 4

Reconverti 2e ligne, le troisième ligne de formation vole dans les airs sur chaque touche comme s’il avait fait ça durant toute sa carrière. Plus vu un Français si impérial dans l’espace aérien depuis Thomas Pesquet.

Cros – 3

Cette image du ballon aplati du poignet va rester dans nos tristes mémoires. Passé par le petit trou pour accomplir de grands méfaits.

Jelonch – 5

Expert dans les duels au près contrairement à ce que laisse entendre son patronyme. La beauté de la langue française.

Alldritt – 4

Intraitable dans les rucks, ses bras de vérin n’ont laissé aucune chance aux joueurs du XV de la Rose. Mais en termes de main ferme, il ne rivalise cependant pas avec Nübel.

Dupont – 1

Alors que les Anglais commençaient à reprendre espoir – comme nous – Antoine nous fusille d’un essai éclair. Ou comment garder au chaud sa place dans le top 10 de la Blacklist FFL.

Ntamack – 2

A seulement 22 ans, Romain capitalise déjà deux titres de champion de France, une Coupe d’Europe et désormais un Grand Chelem. A son âge on faisait des virées nocturnes pour partir à la chasse aux œufs sur Pokémon Go.

Villière – 3

A gratté plus de ballons que toute la troisième ligne anglaise réunie. De quoi faire arracher à Eddie Jones ses dernières racines sur son crâne.

Danty – 5

Une puissance de pilier, une vitesse d’ailier et des dreads sur la tête ; il n’y a désormais plus aucun doute possible, la relève de Mathieu Bastareaud est bel et bien là.

Fickou – 3

Premier Français à lancer les hostilités avec son essai. Décidément, on n’est pas à la fête avec les Gaël en ce moment.

Jaminet – 6

On se demande encore comment son épaule a pu tenir après sa chute à 2 mètres du sol. A sa place on aurait sûrement cumulé 869 jours d’ITT avant de revenir à la vie.

 

Marchant – 8

Si son nom a une consonnance franchouillarde, le trois-quarts centre des Harlequins est pourtant anglais jusqu’au bout des ongles. Pour ceux qui en doutent, sa fissure de la défense tricolore sur le premier essai anglais est un bon premier élément de réponse.

Steward – 7

Freddie est monté à trois reprises dans le camp français sur un coup de pied anglais, trois ballons gagnés. Presque nostalgique des croisades anglaises.

 

Tom
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