Sam : Ajax 2018/2019
La fougue, la jeunesse et la compétence. La découverte pour beaucoup de l’Ajax l’année dernière a été une agréable surprise. Un peu plus joviale que Sam, certainement, mais la comparaison est tout de même viable. Technique, endurant et machine bien huilée, l’alsacien a failli créé la surprise et arriver très haut. Mais, comme l’Ajax, un moment d’égarement, de surconfiance l’a fait redescendre sur Terre. Naoil et Lucas Moura seront leurs bourreaux.
Delphine — Italie 2010
Delphine, comme l’Italie en 2010, est arrivée dans un groupe plutôt facile. Il n’est normalement pas très dur de prendre un peu de hauteur dans un groupe qui comporte un mec qui éteint le feu, un autre qui ne sait pas nager et un 3e nostalgique de ses parties de nain jaune chez sa Grand-Mère.
Mais comme l’Italie en 2010, Delphine va échouer face à la médiocrité. Alors que les Transalpins ne feront pas mieux que 3 points en 3 matchs, Delphine sera éliminée aux ambassadeurs. Mais, dans les 2 cas, il y aura eu un final exceptionnel. Une fin de match dantesque face à la Slovaquie, et un Rap Contender sur Ahmad pour Delphine. Show must go on.
Pholien — Belgique 2018
Certainement la comparaison la plus simple. Le mérite d’un côté, la possession de l’autre. Le seum des 2. Oui Pholien, tu étais peut-être plus fort que beaucoup d’aventuriers, mais la vie et le sport sont fait d’injustices.
Charlotte — Rennes 2006/2007
26 Mai 2007. Il suffisait juste de bien blinder ce coup franc lillois. Il n’y a qu’un danger de la tête avec Fauvergue, 2 mecs sur lui et ça suffit. Bah c’est un peu pareil ce conseil, il suffisait de se blinder Charlotte, tu sortais ton collier et l’aventure était toute tracée pour toi. Au lieu de ça, de la nonchalance, une stratégie foireuse et tu te fais avoir.
L’expérience.
Teheiura – Toulouse Football Club, depuis 2014
Teheiura, comme le TFC depuis 6 ans, n’est pas connu pour la stratégie. Naïveté sympathique d’un côté, contre tactique axée sur la combattivité de l’autre. Bref, les 2 ne sont là que pour la survie. Sauf que sans un peu de jugeote, cette année, ça ne passe pas. Élimination avec un collier pour l’un, contre une série de défaites dantesque pour les autres. Et pour les deux, un sauvetage miraculeux au cours de l’aventure. Merci Sara et le Conseil d’État.
Jessica — France 2014
Mal partie — éliminée avec les héros — elle profitera d’un retournement de situation pour finalement s’intégrer à l’aventure. La France 2014 doit son salut à un héros providentiel elle aussi, Mamadou Sakho. S’en suivra une épopée honorable, qui s’arrêtera au quart de finale. Pas la meilleure, mais loin d’être la pire.
Sara — Montpellier HSC 2013 – 2014
Auréolés d’une réputation encore correcte — champions 2 saisons plus tôt — le MHSC est arrivé dans cette compétition avec un adage digne de Sara : Y’A PAS DE DOULEUR QUI SOIT.
Sauf que, contrairement à Sara, c’est plus aux adversaires que cette maxime a été envoyée. 13 cartons rouges (dont 3 pour le seul Congré), 59 jaunes. Aussi douloureux de subir les assauts des héraultais que d’entendre les cris de Sara un peu gênants. Pour les deux, ça finira en histoire de ventre. Abandon suite à une blessure grave aux abdos pour l’une, ventre mou de la Ligue 1 pour les autres.
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