Finale Ligue des Champions | Les notes du Borussia Dortmund


Borussia Dortmund

Onze ans après sa finale perdue à Wembley contre le Bayern Munich, c’est l’autre bête noire du Borussia Dortmund qui lui brise son rêve dans le même stade ; le Real Madrid. En même temps c’est pas compliqué, les Madrilènes sont la bête noire d’absolument tous les clubs en finale de la Ligue des Champions.

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Kobel – 3

Le gardien suisse n’a eu strictement rien à faire durant la première période, si ce n’est faire la rencontre avec la semelle de Vinicius. On était mieux sur notre canapé, quitte à ne rien faire, au moins on était assis. Pour la seconde, c’est une autre histoire. Il a dû aller récupérer par deux fois le ballon au fond de ses filets. Toujours sans rien n’avoir eu à faire.

Ryerson – 3

Ryerson remplit toutes les caractéristiques de l’arrière droit ; le gars le moins technique de l’équipe, mais qui ne peut pas non plus être gardien car il ne sait pas se servir de ses mains. Ryerson, tu es dans la lignée des grands arrières droits.

Hummels – 2

Quand on voit le match de Mets Hummels, on se demande bien quels défenseurs centraux a à disposition Julian Nagelsmann pour ne pas l’avoir sélectionné à l’Euro. On n’avait plus vu un tel choix inspiré depuis la sélection de Pascal Chimbonda à la Coupe du monde 2006.

Schlotterbeck – 4

Effectuer une première période irréprochable, gagner tous ses duels, mais se manger une biscotte pour contestations. Si on n’est pas sur la première mi-temps la plus frustrante pour un défenseur central, on ne sait plus alors.

Maatsen – 6

Alors que le Borussia se battait pour revenir au score, le Néerlandais offre une sublime presqu’passe décisive pour le second but de Vinicius. Merci Maatsen, tu nous as fait gagner 10 minutes de sommeil en plus.

Can – 5

Emre Can n’a pas hésité la moindre seconde à déboîter les Madrilènes sur chaque contact quand il a compris que la finale était perdue. Un capitaine qui a le sens de l’honneur.

Brandt – 6

Comme Mats Hummels, Julian Brandt n’a pas été sélectionné pour l’Euro. Bon, pour le milieu, on comprend peut-être un peu plus.

Sancho – 2

Avec son partenaire Ryerson, Sancho a dû se sentir bien seul au moment de faire des combinaisons avec le Norvégien. Fort heureusement pour l’ailier anglais, il ne connaît qu’une seule combinaison ; son pied gauche à son pied droit.

Füllkrug – 3

Cela aurait pu devenir la pointouse la plus célèbre d’Allemagne. Elle deviendra la plus poissarde du pays. Un amour de poteau presqu’rentrant dont nous raffolons.

Adeyemi – 3

L’Allemand a eu LE ballon pour ouvrir le score. Mais le jeune ailier du Borussia Dortmund a préféré foirer son duel face à Thibaut Courtois en s’exilant vers le poteau de corner. Le réalisme allemand a drôlement changé.

Terzic – 1

Willkommen chez nous, Edin.

“Une finale ne se joue pas, elle se gagne” Edin Terzic, quelques heures avant la finale.

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Tom