La Formule 1 fait escale en Azerbaïdjan ce week-end. Et fort de sa victoire à Monza lors de la dernière course, Charles Leclerc voulait se montrer lors de la première séance d’essais libres. Et quoi de mieux que de mettre sa Ferrari dans le mur pour continuer à braquer la lumière sur lui ?
Charles Leclerc commence le week-end dans le mur
Après les 30 premières minutes de roulage, et le retrait prématuré d’Esteban Ocon, Charles Leclerc est en haut du classement avec le meilleur temps, juste devant Max Verstappen pour trois petits centièmes de seconde. Alors en toute logique, le Monégasque veut enfoncer le clou sur le pilote Red Bull. Et comme par le passé sur le circuit de Bakou, il envoie sa Ferrari dans le mur. Cette fois, ce n’est pas avant le double virage ultra étroit, mais celui en descente qui amène vers l’interminable ligne droite. Oui, Charles est un esthète qui aime varier les goûts.
Leclerc prend la poussière et ne parvient pas à freiner suffisamment pour tourner. La roue avant droite est froissée, fin de séance. Les week-ends de course se suivent mais ne se ressemblent pas.
🚩DRAPEAU ROUGE🚩
Charles Leclerc est le premier pilote à se faire piéger à Bakou !#AzerbaijanGP #F1 pic.twitter.com/dtXX7oklnJ
— CANAL+ F1® (@CanalplusF1) September 13, 2024
Rendez-vous à la deuxième séance d’essais pour deviner quel virage Charles va inaugurer avec sa Ferrari. Monégasque certes, mais francophone avant tout.
