L’Australie est un magnifique pays qui regorge de ressources et autres joyaux de la nature. C’est également une terre promise pour les observateurs d’espèces rares et les aventuriers amateurs de raretés.
Allez, c’est parti pour un petit instant culture.
7. Le Kookaburras
C’est un oiseau connu pour son sourire, qu’on ne trouve qu’en Australie et qui rapporte beaucoup de points au Scrabble.
On le trouve un peu partout, toute l’année. Le prédateur principal de cet oiseau souriant et joyeux est le touriste parisien.
6. L’ornithorynque
Un animal hybride que Dieu a sûrement créé après une sortie en boîte avec Benoît Paire. Des griffes, des poils, des oeufs, des mamelles, franchement y’a rien qui va.
Cet animal est notamment connu pur avoir été la mascotte des JO 2000 de Sydney. Oui, oui, les JO où Vince Carter a dunké en sautant au dessus de la tête de Fred Weis. Un moment FFL légendaire.
Allez on se la remet pour le plaisir.
5. Le Casoar
Le troisième plus gros oiseau du monde. Il remonte à l’époque des dinosaures. Sa peau est également très prisée dans Far Cry 3.
Il joue un rôle clé dans la conservation de la forêt car il est capable de replanter des graines. Tout un écosystème repose sur ses épaules, un vrai numéro 10.
4. Le Kangourou Arboricole
Voilà, c’est un Kangourou qui saute dans les arbres.
Pour avoir la chance de l’observer, le meilleur endroit est à Malanda en fin d’après-midi.
3. Le Phalanger volant
Un petit machin plutôt mignon qui peut s’élancer à 45 mètres et planer. Il se fait donc souvent bouffer par des oiseaux, raison de plus pour le conserver.
On peut l’observer seulement la nuit, ou le jour sur Wikipédia.
2. Le Bilby
On passe du mignon au vraiment très cheum. Le Bilby est néanmoins une espèce menacée alors restons sérieux.
On peut observer ce qui reste de leur population la nuit. Heureusement, un programme de repeuplement a été mis en place.
1. Le joueur de tennis français
Parmi les espèces les plus difficiles à observer en Australie, celle-ci figure en tête de liste. Ce spécimen n’est visible qu’en début d’année dans les parcs de Melbourne. Si ses homologues sont observables en extérieur entre 7 et 14 jours par an avant de s’envoler, le Français est lui encore plus rare. En effet, son passage à Melbourne a duré cette année moins de trois semaines, dont deux passées à se cacher dans les plaines du Hyatt. Pour les plus chanceux, il aura donc fallu sortir les jumelles à Melbourne Park ces 6 derniers jours.
Ainsi, pour le Tennismanus Tricolorus, le moment est déjà venu de repartir vers l’hémisphère nord.
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