Les Championnats du monde de handball ont certes offert un moment agréable à la France qui perd, il n’en reste pas moins que ce sport n’est pas un allié fiable.
Toulouse ne réchauffe pas les relations entre le handball et la FFL
Si la Coupe d’Europe reprend ses droits la semaine prochaine au foot, avec le duel entre le PSG et Liverpool, un autre sport avait le plaisir de jouer en milieu de semaine ; le handball. Opposé à Flensburg en Ligue européenne, ou Coupe EHF pour les intimes, Toulouse ne partait pas favori de cette rencontre. Et ce, car le club allemand est triple finaliste de la Ligue des Champions (1 victoire), et vainqueur en titre de la Ligue européenne. Quand Toulouse a eu pour plus haut fait d’armes un succès en Coupe de France en 1998. David contre Goliath sur le papier.
Mais si le sport était si simple, écrit à l’avance, nous le saurions. Alors quand le Fénix est mené de trois buts à deux minutes du terme, nous savons pertinemment que nous devons rester vigilants. Oui mais voilà, on avoue, notre vigilance est partie à seize secondes du terme. La possession est allemande, et les joueurs de Flensburg mènent d’un but, ils n’ont donc plus qu’à laisser filer le chronomètre en faisant semblant de placer une attaque. Mais il n’y a rien eu de tout cela. Dès le rond central, un joueur se rend coupable d’un marcher à dix secondes du terme, et rend la possession aux Toulousains. Bakary Diallo s’empresse pour marquer le but sur le gong (35-35) et offrir un match nul inespéré au Fénix. Inespéré, c’est bien le mot.
WHAT. A. FINISH. 🤯#ehfel #elm #allin pic.twitter.com/GgDiDUt7UW
— EHF European League (@ehfel_official) February 25, 2025
Un retournement de situation en fin de match dans un duel franco-allemand, cela ne vous rappelle rien ?
