Entre la France et le Japon, strictement personne ne s’attendait à vivre un match irrespirable. Ni la logique de ce sport, ni les joueurs nippons, et encore moins les 27 000 spectateurs amassés dans le Stade Pierre-Mauroy. Et pourtant, impossible n’est pas français. Nous retiendrons toutefois la trahison ultime de Matthew Strazel.
Une fin de match de malade mental, pas merci Strazel
Si les Bleus mènent paisiblement 49-44 à la pause, ils ne s’attendent sûrement pas à vivre une fin de rencontre aussi irrespirable. Après des ballons perdus et une adresse parfois inexistante, c’est simple, le Japon est en tête.
Attendez on perd le basket contre le Japon là ???????
— Fédé 🇫🇷 de la Lose (@FFLose) July 30, 2024
Trois points d’avance à une minute du terme. Deux possessions pour le commun des mortels, une seule pour Evan Fournier. Le Français envoie un 3 points glacial. 80-80. C’est officiel, nous ne respirons plus.
#Paris2024 | 🏀 🇫🇷 MAIS QUEL SHOOT D’EVAN FOURNIER 😱
Les Bleus égalisent à 80 partout, plus que 47 secondes à jouer 🔥
📺 Suivez le match en direct : https://t.co/kOJfhQ7QZO pic.twitter.com/VhvEv5UVT8
— francetvsport (@francetvsport) July 30, 2024
Mais les Français n’apprennent visiblement pas de leurs erreurs, et laissent à nouveau le pays du Soleil levant compter quatre unités d’avance à 10 secondes du terme (84-80). Après Evan Fournier, c’est Matthew Strazel qui commet l’impardonnable. Le meneur envoie un panier à 3 points du futur, plus la faute. Une action à 4 points qui arrive au pire des moments (84-84). C’est interdit de faire ça, Matthew. Surtout à ce moment du match.
#Paris2024 | 🇫🇷 😱 MATTHEW STRAAAZEEEEEEL 🔥
Mais quel shoot à 3 points plus la faute pour revenir à égalité 🏀
📺 Suivez le match en direct : https://t.co/kOJfhQ7QZO pic.twitter.com/aqxpXV3nxn
— francetvsport (@francetvsport) July 30, 2024
Tout comme les Japonais, nous ne nous en remettrons jamais. Dès l’entame des prolongations, le premier panier est un and one de Wemby, suivi d’une ficelle à 3 points. Bye bye le Japon, même si le panier à 3 points à 7 secondes du terme a fait serrer quelques fesses. Quant aux Français, nous ne sommes pas prêts de digérer ce faux espoir.