Formule 1 | Ferrari frappée par une poisse XXL au Brésil


Charles Leclerc

Tandis qu’il ne restait plus que quatre courses à disputer avant la fin de saison, Ferrari avait tout intérêt à marquer le plus de points dans sa lutte pour la deuxième place au classement des constructeurs. C’est au final un zéro pointé de toute beauté. Et avec la manière s’il vous plaît.

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Le sans-faute magistral des Ferrari au Brésil

Partant depuis la 13e place sur la grille, Lewis Hamilton avait une seule mission en tête ; effectuer une remontada pour son presque Grand Prix à domicile. Mais pour le Britannique, tout a fait pschitt dès le premier virage, un peu comme Gabriel Bortoleto. En effet, le pilote Ferrari est touché par celui qu’il a remplacé à la Scuderia, un certain Carlos Sainz. Mais ce n’est pas fini, à la fin de ce même premier tour, Lewis tente de doublé Colapinto, mais il foire totalement sa manœuvre et percute l’arrière de la monoplace de l’Argentin. Résultat ; son aileron avant file sous sa voiture, et lui ruine d’ores et déjà le reste de sa course.

Mais rassurez-vous, chers tifosi de la Scuderia, vos deux pilotes vont connaître la même course chaotique. Lors de la relance, Leclerc semble prendre le meilleur sur Antonelli, et voit la deuxième place lui tendre les bras. Mais c’était sans compter sur Oscar Piastri, qui collectionne les boulettes dans cette seconde partie de saison. Le pilote australien percute Antonelli, qui lui harponne Leclerc dans un jeu de billard fatal au Monégasque. Qu’on se le dise, on est sur une guigne monumentale du côté de Ferrari.

Charles Leclerc abandonne, et avec lui ses espoirs de troisième podium d’affilée.

Si Lewis Hamilton parvient lui à reprendre la piste, il ne va pas faire long feu. À la mi-course, le Britannique abandonne et paraphe une course magistrale pour la Scuderia. Un zéro pointé, quand les Mercedes glanent 30 points, et Red Bull quinze unités. Ce n’est pas comme si les trois écuries se tenaient en dix points avant ce week-end, et se jouaient encore le titre de vice-champion du monde.

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Tom