Youth League | Les jeunes du PSG respectent l’ADN du club


Tout juste une semaine après le naufrage parisien, les U19 du PSG étaient opposés à Salzbourg en quart de finale de la Youth League. Et le syndrome Donnarumma a encore frappé la capitale. 

Le PSG fêtait aujourd’hui l’anniversaire des 1 semaine de la remonzema, de quoi mettre les jeunes pouces parisiens dans les meilleures conditions possibles. Et ça n’a pas manqué. Confrontés aux Autrichiens de Salzbourg en quart de finale de la Youth League, les U19 nous ont offert une sublime partie cet après-midi.

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Un début de match du PSG pourtant historique

Les coups d’envoi se suivent mais ne se ressemblent pas au PSG. Dès l’entame de la rencontre, les Parisiens se créent une action de but sur la première ouverture. Edouard Michut ouvre le score à la 11e seconde, soit le but le plus rapide de l’histoire de la Youth League. Les jeunes Parisiens ne mettent pas longtemps pour démontrer qu’ils ne partagent absolument pas les mêmes valeurs que leurs aînés.

Mais ce qui va suivre dépasse l’entendement pour le commun des mortels. Alors qu’on se rapproche tranquillement de la mi-temps, la défense parisienne se noie dans sa passivité et permet à l’attaquant malien Ousmane Diakité d’égaliser à la 37e minute. La gestion des temps forts chers amis.

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Mouquet, le concurrent n°1 de Donnarumma

Au retour des vestiaires, les Parisiens ne parviennent toujours pas à prendre le dessus sur Salzbourg et déjouent merveilleusement bien. Sur une sortie hors de sa surface de Lucas Lavallée à l’heure de jeu, le gardien du PSG se blesse, ce qui permet à Louis Mouquet de le remplacer dans les cages. Zoumana Camara en profite pour passer à trois derrière. La double bascule.

Seulement dix minutes plus tard, le numéro 2 des U19 prouve à Zoumana Camara qu’il n’aurait jamais dû débuter la rencontre sur le banc. Sur une tête plutôt anodine de Roko Simic – on vous voit avec vos jeux de mots douteux – Louis effectue une manchette parfaite dans ses propres buts. Donnarumma ne l’aurait pas arrêté non plus.

Les Parisiens n’ont plus que 20 minutes pour égaliser et arracher les prolongations, mais à la place les U19 préfèrent reproduire ce qu’ils ont vu au Santiago Bernabeu. Le défenseur central français Bitshiabu foire totalement sa relance comme Marquinhos pour amener le troisième but autrichien. La ressemblance est étourdissante.

Les semaines se suivent et se ressemblent à Paris.

Tom